« Il s’agit moins de « désenvoûter » le lecteur-consommateur que d’essayer de lui montrer en quoi les objets de consommation sont profondément liés à notre imaginaire, à notre façon de concevoir le monde. »
Anthony Galluzzo a répondu aux questions d'Ubsek & Rica, à l'occasion de la parution de La fabrique du consommateur.